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"Coin poésie et musique"

Dans ce salon cosy, je vous invite à l'évasion vers la poésie,

les citations et les paroles de musique .

 


Chanson de Sosso : le jupon de dentelle

Le jupon de dentelle.(chanson de Sosso)




Sous les volants noirs
De mon long jupon
A ma chair ivoire
Tu mets des frissons.

Pose à mes genoux
Ton front si brûlant,
Ton geste très doux
Défait mes rubans.

La sombre dentelle
Retient tes soupirs,
Et dans ta prunelle
Monte le désir.

Au tissu se tissent
Les fils de l'amour,
Dans les fronces glissent
Tes doigts de velours.

Ta main qui voyage
Chiffonne les plis,
Tu n'es jamais sage
Quand je te souris.

De nos corps unis
Dans un tourbillon
L'amour fera fi
De mon beau jupon.

30/04/2009
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En rouge & noir



Déclinaison du rouge dans les gestes du quotidien met de la vie et un grain de folie douce dans les jours, quelles que soient les saisons, quel que soit l'instant.

D'abord, le rouge sur les lèvres, qui illumine et habille le sourire, puis le rouge
des chaussures comme pétales de roses courant furtivement.

Que dire de la robe rouge, audacieuse et impertinente, qu'il faut savoir porter avec réserve et élégance ?

Rougir c'est l'émotion tour à tour, de rage ou de joie, mais forcément, le rouge ne laisse pas indifférent. 
Au rouge s'associe le noir qui balance habilement pour en révéler l'éclat et lui donne sa grâce et son  brio.

Le  rouge du  coquelicot pimpant et sauvage, rouge dont s'habille le rouge-gorge, rouge des roses, rouge passionné, passionnant.

Dans tous ses états.....osez, osez donc.....le ROUGE !




21/01/2009
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Différente mais toujours la même... improvisation.

Image, musique et magie improvisées,

Au-delà de l'image magique immobile, j'ose imaginer l'imaginaire vagabonder, et virevolter en vous,  l'inconnu, voguant sur le flot mystérieux d'un visage muet.

Vous supposez et posez les questions qui s'imposent sur la musique et les notes secrètes de la dame sans voix.... douce ou grave, qui sait ??

Sans le son, sans la gamme des do, ré, mi, fal, sol, .... sans sa clef de sol, sans dièse ni bémol, vous cherchez et scrutez sans trouver...
La magie fait son oeuvre et vous avez cru deviner.... ?  mais avez-vous raison ??

la damenjupe a plus d'un tour dans sa boule de cristal...
poudre de perlimpinpin, baguette magique,
et violons ...
.


07/12/2008
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La jupe en laine ....de Julien Clerc


Des souliers noirs, une jupe en laine,

je ne dors plus, tu sais je veille
Sur son sommeil
Et tout ce qui la blesse me tue.
  Je ne vis plus, tu sais je brûle
Et tout ce qui la blesse me tue
Jalouse et belle,
Tu sais, je veille sur son sommeil.


Elle se penche, elle se balance,
Vous voyez bien que rien ne manque,
Ni les silences, ni les serments
Ni les rubans fidèles et bleus,
Ni les querelles des amoureux.


Des souliers noirs, une jupe en laine,
Je ne dors plus tu sais je veille,
Sur son sommeil
Et tout ce qui la blesse me tue.
Quand vient le soir
N'allez pas croire
Qu'on fera l'amour dans le noir
Et dans la chambre, elle rit elle ment


Les autres fois, je pense à elle,
Comme au Bon Dieu, sans trop y croire
Le fol espoir de l'Amour fou,
Elle danse, elle chante
Et quand elle sort
J'attends, j'attends, je prie sûrement.

Des souliers noirs, une jupe en laine,
Je ne dors plus tu sais je veille
Sur son sommeil,
Et tout ce qui la blesse me tue.
Elle se penche, elle se balance,
Vous voyez bien que rien ne manque,
Elle change sa robe et l'eau des fleurs
Et moi je meurs d'amour pour elle.

Les autres fois, je pense à elle
Comme au Bon Dieu sans trop y croire
Le fol espoir de l'Amour fou
Elle danse, elle rit
Et quand elle sort
J'attends, j'attends, je prie sûrement.



Des souliers noirs, une jupe en laine,
Je ne dors plus, tu sais je veille
Sur son sommeil,
Et tout ce qui la blesse me tue.


13/11/2008
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Coin poésie de la dame "poète"


Ombre et lumière

Sous mon pinceau nature, les couleurs se passionnent

S'entremêlent, indécises, puis enfin s'abandonnent.

La page avant si pâle, s'éveille à demi-nue,

Telle une peau mutine sous la caresse émue.


Lentement, la palette offre ses camaïeux

Aux rameaux ombragés des grands lierres amoureux..

Tandis que la tonnelle, enlacée de glycines

Attend la vol discret de l'abeille qui butine.


Feuilles fines, aux pétales diaphanes frôlées,

chantent le doux froufrou de la ramure ailée.

Le peintre s'alanguit, troublé par les nuances

Du froissement furtif des feuillages qui dansent.



                           


25/09/2008
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